La question de l’apprentissage chez les jeunes est au cœur des préoccupations de toute société. Les questionnements liés à cette problématique sont nombreux et, au fil du temps, institutions, responsables pédagogiques et parents s’attachent à trouver des réponses adaptées à un public qui évolue de plus en plus.

Hors des instances, il y a des pratiques de toutes sortes parmi lesquelles celles des « Lékòl péyé » connus de certains – quinquagénaires et plus.
L’ouvrage est un clin d’œil à ces jeunes hommes et femmes qui ont illustré à leur manière le « vivre ensemble » à une période où le verbe agir se conjuguait à tous les temps en Guadeloupe.
Après le « bay koko pou savon » et le « débouya pa péché » c’est une facette d’une société guadeloupéenne qui se prend en main que Murielle Clodine-Florent nous invite à redécouvrir.

A propos de l'auteure

Murielle Clodine-Florent est professeur de Lettres Modernes et de Langue et culture régionales créoles. Après son recueil de pensées créoles intitulé « Pawòl fonnkè pou ben démaré a Lagwadloup », elle nous propose une autre entrée à l’intérieur de nous-mêmes pour chercher ce qui faisait notre force. Son hommage s’adresse d'abord aux maîtres et maîtresses karésòl d'une époque mais aussi à la société actuelle où les termes de reconnaissance et d’abnégation peinent parfois à trouver leur place.