Arte reportage Vidéo : Haïti : 4 ans après / Michel Dumont; Eric Bergeron; Isabelle Nommay, Réal.Arte reportage Vidéo : Haïti : 4 ans après / Michel Dumont; Eric Bergeron; Isabelle Nommay, Réal.
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Titre
Arte reportage Vidéo : Haïti : 4 ans après / Michel Dumont; Eric Bergeron; Isabelle Nommay, Réal.
Auteur
Description matérielle
1 DVD (52 mn) : coul.
Inf. locale
Le 12 janvier 2010, l'île d'Haïti est frappée par un violent séisme faisant plus de 230 000 morts, plus de 300 000 blessés et 1,5 million de sans-abris. Quatre ans plus tard, le pays panse toujours ses plaies. La reconstruction est engagée, mais l'aide internationale s'est tarie, trouvant d'autres priorités avec la Syrie, le Sahel et, plus récemment, les Philippines. A Port-au-Prince, la capitale, les camps de tentes ont, en apparence, disparu. La ville est devenue un vaste chantier : parcs et jardins ont été vidés de leurs occupants et rénovés. Sur le million et demi de sans-abris, il ne resterait - selon les agences onusiennes - que 145 000 personnes survivant dans quelque 160 camps de toile. Les plus démunis de la population, les plus délaissés aussi, avec le désengagement des bailleurs de fonds internationaux et donc des ONG. Pourtant, des urgences subsistent en Haïti. Le choléra : 50 % des cas dans le monde sont recensés sur l'île. La sécurité alimentaire : 7 millions d'Haïtiens vivent avec moins de deux dollars par jour. Le logement : les grands programmes promis au lendemain du séisme ne sont toujours pas au rendez-vous, quatre ans après.
Collection
Sujets
Collaboration
Note
Prêt + Consultation sur place coll.
Le 12 janvier 2010, l'île d'Haïti est frappée par un violent séisme faisant plus de 230 000 morts, plus de 300 000 blessés et 1,5 million de sans-abris. Quatre ans plus tard, le pays panse toujours ses plaies. La reconstruction est engagée, mais l'aide internationale s'est tarie, trouvant d'autres priorités avec la Syrie, le Sahel et, plus récemment, les Philippines. A Port-au-Prince, la capitale, les camps de tentes ont, en apparence, disparu. La ville est devenue un vaste chantier : parcs et jardins ont été vidés de leurs occupants et rénovés. Sur le million et demi de sans-abris, il ne resterait - selon les agences onusiennes - que 145 000 personnes survivant dans quelque 160 camps de toile. Les plus démunis de la population, les plus délaissés aussi, avec le désengagement des bailleurs de fonds internationaux et donc des ONG. Pourtant, des urgences subsistent en Haïti. Le choléra : 50 % des cas dans le monde sont recensés sur l'île. La sécurité alimentaire : 7 millions d'Haïtiens vivent avec moins de deux dollars par jour. Le logement : les grands programmes promis au lendemain du séisme ne sont toujours pas au rendez-vous, quatre ans après.
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